Cinquante ans après sa mort le 3 février 1975, la diva de la chanson arabe, Oum Kalthoum, est omniprésente. De Bagdad à Damas, de Tunis à Beyrouth, sa voix continue à chanter l’amour, le désir et la perte du bien-aimé.
Cinquante ans après sa mort le 3 février 1975, la diva de la chanson arabe, Oum Kalthoum, est omniprésente. De Bagdad à Damas, de Tunis à Beyrouth, sa voix continue à chanter l’amour, le désir et la perte du bien-aimé.